JULES CASÉ …
Laqué,
Comme,
Un canard,
Sur le chinois,
Coule
Le jus,
Il brille
Et palpite,
Sous la braise
Qui l’ambre …
—–
A feu doux,
Il fond
Comme,
Une gomme
Fluide.
Une bougie
De cire
Chaude,
Elle Coule
Comme
Un cierge
Maudit …
—–
Sur le tabernacle
Profane
Qui luit,
Gras
De plaisir.
Dans l’ombre
Propice,
Et ne résiste pas
A l’oeil
Torve …
—–
A sa morve
Translucide,
Qui brille,
Sous la lune
Exorbitée.
L’astre
D’albâtre,
Cyclope
Énucléé,
Baille,
Pleure
Et quémande …
—–
La goutte
D’or blanc,
Dernière,
Issue
De l’amant
Dont la moelle
Epinière
Sourd
De son gland
Branlant,
Dodelinant,
Après
Que sa charge,
Il a jeté …
—–
Dans le rail
Profond
Qui va
De la fesse
Au con,
Il défaille,
Tressaille,
S’englue
Tout près
Du cul …
—–
Canyon,
Arizona,
Barbe
A papa,
Délices,
Réglisse,
Il glisse,
Velu,
Repu,
Glandu …
—–
Impavide
La lune
Se vide
De son plaisir
Hurlant.
Fusion,
Métal,
Faïence
Fessue
Fondue.
Défaillance
Or blanc …
—–
Jules
Hulule,
Brûle,
Et se vide,
De ses humeurs
Musquées,
A pleurer.
Ah ben oui Champagne ! 😉 ..J’aime bien aussi la fin
, elle est mignonne…