IL EST TEMPS DE REFERMER …

…de refermer les pages de ce livre virtuel. Il est bon que le silence succède au tumulte quand vient que la page reste blanche. Comme l’oeuf non fécondé. Nul ne sait jamais ce que sera la prochaine seconde. Le vent souffle sous la calotte, qui se fait tant de mondes, que glacière elle en devient. Le temps implacable s’écoule tandis que je fuis. Allons donc voir mignonne ce que sont les hommes outre mer, à l’endroit précis où bouillonne la lave brûlante d’une vie qui répugne à mourir. Dans les fils de lumière continuent de passer les aurores, les soleils torrides et les nuits vertes de peur ou d’espoir…

Les abeilles labiles sont de pauvres alliées,

Que le vent éparpille comme fleurs fanées.

Que dans vos verres coulent les élixirs vineux des vies à venir….

A la revoyure donc, en d’autres terres de peu…

Catachrèsement votre

Commentaires
  • Tes gribouillis vont me manquer 😉

    “si ne serait-ce qu’un instant, j’étais parvenu à t’arrêter, toi qui « surfe » sur le flot ininterrompu des vanités humaines, des petits bruits d’oiseaux et autres boucs (dont les miens)..Et bien je n’aurais pas gribouillé pour rien.”

    François

  • Bruno dit :

    Une telle plume va sans doute nous (les pauvres du verbe) manquer. Reviens vite. En espérant que le vent t’éloigne les tracas et pire encore.
    Amitiés
    Bruno

  • Michel dit :

    Christian bonsoir,
    Ai-je bien lu ton dernier billet?
    Il nous reste tout de même l’espoir de lire une petite perle de ta plume: “Nul ne sait jamais ce que sera la prochaine seconde”.
    Ce n’est pas parce que l’on ne laisse pas de commentaires que nous ne sommes pas heureux de venir sur LITTINERAIRES VINIQUE.
    Et cette poésie, juste postée avant de fermer boutique:
    Oh ma Karinette, mes lèvres sur tes anches…, j’ai adoré!
    Vas faire un petit tour, mais reviens nous vite, pas demain, mais semaine prochaine, comme avant…

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